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"Kiss from Lion is charming and elegant with a classic appeal that feeds the imagination... "A.V.A LIVE RADIO

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Apollo You Sixteen
2016, Take The Bus

C’est à travers l’oud (luth arabe), la batterie et la basse électrique que Karim Baggili donne naissance à son cinquième album « Apollo You Sixteen ». Ce titre d’album est loin de manquer de signification puisqu’en le décomposant on découvre un « Apollo » qui nous soumet l’idée d’un voyage interplanétaire. « Sixteen » représente l’âge durant laquelle Karim eu soif de d’exploration notamment avec de nouvelles découvertes instrumentales. Un titre qui en dit long sur les intentions du chanteur. Il incarne « Apollo », celui qui nous fait décoller de cette planète Terre. L’album nous réchauffe par cette bouffée orientale qui cache une allure espagnole et des paroles anglaises. L’artiste respecte sa promesse et nous fait sillonner le monde en douze titres. Une performance mélodieuse qui accompagne notre « tour du monde en 48 minutes ».

Nouvelle vague.com - Aude Picone
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Douar
2005, Acoustic Music GmbH & Co

La splendide pochette - un tremblé rouge tournoyant - traduit parfaitement l'impression de la musique: ne jamais rester en place, quitter un genre pour aller en embrasser un autre. Le jeune guitariste Karim Baggili, né en Belgique de racines jordaniennes et yougoslaves, produit son premier album, acoustique, sur un petit label indépendant belge avec des qualités de virtuosité qui n'obstruent pas sa sensualité, ni son imagination.

Un disque, sobre, salé, qui sent bon le sud...

Ph.C. - Le Vif L'Express n°44

"Dit is een schijf om te savoureren. Met een goed glas wijn, in een aangenaam gezelschap, en dan intens luisteren en genieten.”

Steven, Folkroddels.be

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Apollo You Sixteen Part II
2017, Take The Bus

Már több mint egy éve, hogy a Belgiumban élő, jordániai-jugoszláv származású Karim Baggili előző, sorrendben ötödik lemezéről írtam. Emlékszem mennyire elvarázsolt a játéka (gitáron és údon), az a virtuozitás, amely végtelen hullámokban áradt a zenéből. Megérdemelten került fel a világzenei slágerlistákra, különféle rádiók műsorába. Ahogyan vegyítette az arab és a flamenco elemeket, az megismételhetetlennek tűnt.

 

Ám mint kiderült, ez nem így van, hiszen tavaly novemberben megjelent a folytatás, az Apollo You Sixteen Part 2 címet viselő album. Az első meghallgatás után nyilvánvaló, hogy az arab hatás még mindig meghatározó a zenéjében, viszont ha lehet, most még jobban szabadjára engedte magát komponálás közben. Talán elsőre hallásra nincsenek olyan magával ragadó dallamok, mint az előző albumnál, és mintha jobban előtérbe kerülnének a Belgiumban felszedett „nyugati” hatások.

 

Viszont ez az album is magával ragadó, Karim Baggili játéka még mindig lenyűgözően laza, annak ellenére, hogy időnként úgy éreztem, visszafogja magát a közös zenélés érdekében, hogy ez a muzsika ne csak az ő nyilvánvaló tehetségéről, hanem inkább a dalokról szóljon – és ez csak előnyére vált a lemeznek. Így semmi sem veszik el a rádiókban is sokat játszott „D Fight” című szám energiájából, amelyben nem csupán az angol nyelvű ének, hanem a kifejezetten rockos attitűd (Vivian Ladrière dobolása és Baggili játéka), a hegedűn érkező keleti dallam (Mohammed Al Mokhlis) fogott meg – nem elfeledkezve a basszusgitáros (Youri Nanaï) biztosította alapokról. Azért pár szerzeményben (például a „To You” tételben) Baggili megmutatja mire képes az ujjaival, illetve azt, hogy lassabb üzemmódban, minimális kísérettel sem okoz csalódást. Az arab dominanciára jó példa a „Ari on the Moon”, ekkor úgy éreztem magam, mintha Seherezádé kedvenc mesémet hangszeren olvasná fel. Szeretem ezt a lemezt, mert Baggili egy varázsló, aki nem csak gitárral/úddal a kezében képes hihetetlen dolgokra, hanem tudja, miként lehet és kell hidat építeni kelet és nyugat között, hangról-hangra, tehetséggel.

 

Kinek ajánlom: flamenco-arab, gitár-ud keverék, némi rockos beütéssel – még mindig elragadó hallgatnivaló.

A 2017-ben megjelent album (Take The Bus). - http://ekultura.hu/2018/02/04/zenek-a-nagyvilagbol-avagy-vilagzenerol-szubjektiven-110

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Kali City
2013, homerecords.be

“Karim Baggili - Kali City Cela fait des années que sa musique nous berce les oreilles, souvent à la guitare, parfois à l’oud, le luth arabe qui lui colle à la peau de par ses origines jordaniennes. Sur ce nouvel album, Karim Baggili invite le trio Joubran pour les cinq pièces d’une suite, puis délaisse la six cordes pour l’oud lorsqu’arrivent son «Arabic Band» et ses instruments traditionnels. Un poétique voyage vers le Moyen-Orient nous fait découvrir treize compositions originales fascinantes: les yeux fermés, Kali City est sous vos pieds, le voyage enivrant peut se répéter à l’infini tant la musique est belle.J-P.G. 

J-P.G - Vers l'Avenir

“Kali City is the latest Karim Baggili and a musical pleasure from the first note. Where Frank Zappa had his conceptual continuity, the Belgian oud, bass and guitar player uses a similar concept. All his latest albums plus that of singer Karolina de la Serna can be played in sequence to form a coherent melodic canvas. This album features the Joubran oud trio and Baggili’s Arabic Band. 13 highly lyrical tracks carry the listener on a trip through the Arabian part of the Mediterranean whilst Karim offers musical narration on the scenery and its varied peoples. Melancholia, empathy and joyous dances pass the virtual windows of our tour bus. Each composition contains a careful mixture of traditional Arabian music, Western jazz and classical expressed such that each note has meaning and intent. Kali City is a jewel!”

6moons

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Lea & Kash
2010, homerecords.be

Lea & Kash

"Attention, trésor!" vous prévenait-on, quand à Babelmed en 2007 nous avons découvert Karim Baggili, jeune guitariste et oudiste belge né en 1976 d'un père jordanien et d'une mère yougoslave, prédisant que c'était là un musicien "avec lequel il faudra compter dans les années qui viennent" (www.babelmed.net/index). 

Promesse tenue par le jeune compositeur, avec cet album flamboyant, qui le place d'emblée très haut parmi les meilleurs artistes que l'Europe nous ait offert ces dernières années. Un univers musical qui n'appartient qu'à lui et des compositions d'une rare originalité, à la fois oniriques et pleines d'inventivité, qui nous emmènent de surprises en découvertes: on pense à Keith Jarrett, à Tigran Hamasyan, ou à Anouar Brahem, pour citer trois artistes dont les compositions sont menées par le rêve tout en étant le fruit d'une recherche musicale extrêmement élaborée . 

Construction: c'est à Bach aussi qu'on pense à l'écoute de certaines compositions, car Karim Baggili peut être cérébral tout autant que fougueux ou poète. Le livret qui accompagne le disque exprime en photos l'univers musical de Karim Baggili: les images sont familières - un visage, une rue, un ciel... (les photos sont de Yasmine Baggili) - mais l'assemblage en fait des tableaux poétiques, ce sont des visions, c'est-à-dire des interprétations et non des reproductions de la réalité. Et, de la même manière qu'une photo ou peinture peut être réaliste ou abstraite, en passant par surréaliste, Karim Baggili incorpore ici des éléments venus de tous les univers musicaux qu'il a traversés, et qui nous traversent tous - chants populaires, flamenco, violoncelle classique, chants sans paroles des créations contemporaines, etc... - et c'est au total son monde à lui qu'il nous livre, et nous offre à entendre. 

Les titres des compositions, comme les langues utilisées - espagnol, arabe, hindi, plus cette non-langue chantée par Karoline de la Serna, qui est de la musique sans mots - disent aussi cette ouverture à tous les vents: - "Consejo del tiempo", "Albi badawi" (Mon coeur est bédouin), "Elément 7" (comme on dirait Partita n°3), "Moto trankil", "Pay cash", "Sutra"... 

Un album exceptionnel, qui rend à la fois zen et heureux.

Nadia Khouri-Dagher

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Cuatro con Cuatro
2005, homerecords.be

Karim Baggili est très présent sur nos scènes depuis quelques temps. Le voici enfin à la tête de son propre projet. Sa guitare et son luth jouent sur les tons de l'Andalousie, du Maghreb, de l'Orient... mais le jazz est tapi dans l'ombre, prêt à s'inviter. Finesse et personnalité sont au rendez-vous. Les mélodies se déploient avec souplesse, aidées par la délicate chaleur du violoncelle de Kathy Adam et la flûte de Philippe Laloy, qu'Osvaldo Hernandez Napoles appuie de ses percussions subtiles. Karim Baggili et son univers n'ont pas fini de nous enchanter. Etienne Bours - Imagine - Janv. et Fév. 2006

Douar
2005, Acoustic Music GmbH & Co

Hearing Karim Baggili play solo, sometimes dubbed with second guitar, (with only a bit of conga and cajon on two tracks, by Etienne Serck), I realize much more how gifted he is as a guitarist. 

Somehow I was immediately reminded of the lecture I need to give in October at the Theosophical Society on the "91 parts of the earth", a rather esoteric oracle-based concept which is extremely interesting because it shows places on the earth where certain conditions are present that makes it easier to develop certain creative processes (with an influence on the local religious, social, and philosophical tendencies).

The area of Belgium was listed as having very good conditions to see how to make through compromise and negotiation a harmonious creative starting point for contradictory elements, in social groups, ideas, etc. Not that this is an over-relevant association, but I always wondered why and how so many musicians in Belgium that I know so easily adapt so many styles from elsewhere, and make it sound skilfully as if they can make it as their own rich and peaceful, warm home.

That is also exactly what Karim makes in his style. Like a logical journey, over Spanish, Greek and other originating ideas this is all transformed into Karim's own world and space, full of warm effects, flowing from one theme to the next. All tracks are original compositions except for the ninth track which brings suddenly a sweep further into a further area and is played with ud and acoustic guitar, and some percussion, "Racset Siti", an old Arab traditional, followed by a fitting well personal composition on oud lead, and a calmer part on guitar lead, bringing us back home, the place we didn't leave except in the colours of the imagination, presented on "Douar". 

Brilliant.

Gerald Van Waes - psychedelicfolk.homestead.com Douar ****

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Apollo You Sixteen
2016, Take The Bus

Karim Baggili is een avontuurlijke Belgische gitarist en oudspeler,die op een aantal bijzondere wereldfusieplaten van het homerecordslabel opdook, waar hij echt opviel, en met een aantal solo-albums, waaronder het prachtige

en het misschien nog wel mooiere dat hij opnam met het Trio Joubran en zijn Arabische band.Lea & Kash Kali City. Nu is er, bij een ander, nieuw label, Take The Bus, een

magnifiek nieuw album verschenen, ,waarop Baggili opnieuw laat horen dat hij niet alleen een van de avontuurlijkste oudspelers en gitaristen van België is, maar ook een van de interessantste componisten.Wereldfusie op zijn allerbest, lyrisch, soepel, mooi en

buitengewoon spannend. Apollo You SixteenBaggili heeft ook een bijzonder goede band om zich heen verzameld – Vivian Ladrière op drums en percussie, Youri Nanai op bas en Mohamed Al Mokhlis op Arabische viool. Gasten zijn Karoline de la Serna, zang en Silvano

Macaluso, piano, keyboards, programmering. Baggili zelf speelt als gezegd oud, diverse gitaren (ook elektrisch) en bas, en zingt ook, en als gitarist en oud-speler is hij niet minder dan virtuoos te noemen, terwijl hij er tegelijkertijd in slaagt een zekere melancholie in zijn muziek te krijgen.Eigenlijk is dit een album om alleen maar lyrisch van te worden, want het is meteen bij eerste beluistering al geweldig mooi, maar het wordt bij nadere beluistering alleen maar beter en beter. Luister maar eens naar de fragmenten die ik hier laat horen, en luister er dan nog een keer naar, dan hoor je wat ik bedoel. En dan hoor je enkel maar een

fragment, dat ik volledig uit zijn verband heb gerukt. Want dat is ook het mooie van dit album – Baggili weet als geen ander hoe je een spanningsboog moet opbouwen en

vasthouden, en bovendien is het hele album mooi uitgebalanceerd. Een absolute aanrader!

Moors Magazine

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